“Sauvons les librairies. Sauvons les librairies. » Tel est le slogan que l’on scande à qui veut bien l’entendre.
Mais n’y a-t-il pas méprise entre sauver une « boutique » et sauver une « lecture » ?
Car, ne nous le cachons pas, les librairies ne sont qu’un support de vente pour le produit livre qui lui renferme l’intérêt du pourquoi nous recherchons l’objet livre qui se trouve dans une librairie.
En ce XXIe siècle, la donne a changé. Les livres numériques ont permis de démocratiser et de diffuser au plus grand nombre des écrits.
Qu’on le veuille ou non, c’est ainsi, et même si certains tentent encore de ne pas voir l’inévitable, nous sommes dans une ère de changement.
Bon ou mauvais, seul le temps nous le dira.
Un auteur, comme tout artiste, est partie prenante de la diffusion de la culture pour son pays. En conséquence de quoi, ne devrait-on pas aller vers la diffusion gratuite des œuvres littéraires auprès du public, l’auteur se trouvant dès lors rémunéré par l’État ?
Pour ce qui est du numérique, un système de comptabilisation des téléchargements des œuvres pourrait être mis en place et ainsi les droits d’auteurs pourraient être reversés à l’intéressé.
Ce système de droit d’auteur existe déjà pour les diffusions des émissions de télévision, pourquoi ne pas l’adapter au système littéraire ?
C’est une idée et je n’ai pas toutes les données pour confirmer mes dires, mais je crois qu’elle mérite débat, car je pense qu’en y réfléchissant tous, nous serions capables de trouver une solution.
Qu’en pensez-vous ?
Mais n’y a-t-il pas méprise entre sauver une « boutique » et sauver une « lecture » ?
Car, ne nous le cachons pas, les librairies ne sont qu’un support de vente pour le produit livre qui lui renferme l’intérêt du pourquoi nous recherchons l’objet livre qui se trouve dans une librairie.
En ce XXIe siècle, la donne a changé. Les livres numériques ont permis de démocratiser et de diffuser au plus grand nombre des écrits.
Qu’on le veuille ou non, c’est ainsi, et même si certains tentent encore de ne pas voir l’inévitable, nous sommes dans une ère de changement.
Bon ou mauvais, seul le temps nous le dira.
Un auteur, comme tout artiste, est partie prenante de la diffusion de la culture pour son pays. En conséquence de quoi, ne devrait-on pas aller vers la diffusion gratuite des œuvres littéraires auprès du public, l’auteur se trouvant dès lors rémunéré par l’État ?
Pour ce qui est du numérique, un système de comptabilisation des téléchargements des œuvres pourrait être mis en place et ainsi les droits d’auteurs pourraient être reversés à l’intéressé.
Ce système de droit d’auteur existe déjà pour les diffusions des émissions de télévision, pourquoi ne pas l’adapter au système littéraire ?
C’est une idée et je n’ai pas toutes les données pour confirmer mes dires, mais je crois qu’elle mérite débat, car je pense qu’en y réfléchissant tous, nous serions capables de trouver une solution.
Qu’en pensez-vous ?
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